La pandémie du Covid 19 n’empêche pas le fanatisme islamique de prospérer

Le Coronavirus ne s’arrête pas aux frontières. Le virus islamique non plus. D’autant qu’on n’a rien fait pour les empêcher de s’installer en France.

Si l’on a cherché et (apparemment) trouvé le vaccin pour se prémunir du Covid-19, rien n’a été fait pour éradiquer cet autre péril mortel qui menace au-delà de nos vies, notre société, notre culture, notre civilisation même. Tout se passe comme si nos gouvernants n’avaient pas pris la menace du fanatisme islamique au sérieux.

Et pourtant le péril est bien réel et il peut se constater tous les jours, en dépit des efforts des médias pour le nier ou le minimiser. Tout le monde connait le syndrome de la grenouille dans la marmite. Si l’on plonge subitement une grenouille dans une eau à 50°C elle s’échappe d’un bond. Mais si on la met dans l’eau froide et qu’on chauffe très progressivement la marmite la grenouille s’habitue à l’élévation de la température jusqu’à finir ébouillantée.

Nous en sommes là précisément avec l’islam politique qui s’est installé peu à peu dans notre société bénéficiant de la passivité (quand ce n’est pas de la complicité) d’une partie de la classe politique et des élites intellectuelles de notre pays. Depuis au moins quatre décennies nous avons assisté à une lente et fatale dérive qui a poussé les musulmans a revendiquer et à obtenir toujours plus de droits, de passe-droits et d’avantages de tous ordres.

Au lieu d’accepter les lois et les valeurs de la France qui les a généreusement accueillis, ils veulent nous imposer des mœurs et des coutumes d’un autre âge. Tous les efforts déployés par les pouvoirs publics pour les intégrer ont échoués. Au contraire ils se sont servis de nos lois et de nos institutions pour les retourner contre nous. Et aujourd’hui, nous assistons avec l’insouciance de la grenouille qui constate l’élévation de la température à la dégradation progressive de notre environnement gagné par la violence et l’insécurité.

Qui aurait imaginé qu’en l’an de grâce 2020, dans notre beau pays, on tue par décapitation un professeur d’histoire qui avait défendu en classe la liberté d’expression ? Qui aurait imaginé que moins de trois mois après ce crime abject une enquête de l’IFOP révèle qu’un professeur du secondaire sur deux (49%) reconnaisse qu’il s’autocensure dés lors qu’il aborde en cours la question des religions et de la laïcité ? Qui aurait imaginé qu’il faille en France mettre sous protection policière 24h sur 24 Mila, une jeune fille de 17 ans, menacée de mort pour avoir osé critiquer l’islam sur les réseaux sociaux ? Qui aurait imaginé qu’un président de la République puisse envisager tranquillement un partage du pays alors qu’il est « le garant de l’indépendance nationale et de l’intégrité du territoire national » (article 5 de la constitution).

Nous faire taire

Les islamistes sèment la terreur en France dans le but de nous faire taire. Les gouvernements successifs de gauche, comme de droite, auraient dû prendre depuis longtemps des mesures pour éviter d’en arriver là. La première étant, bien sûr, de contrôler nos frontières terrestres et maritimes pour dissuader les clandestins du monde entier de venir s’installer chez nous. Ensuite que les pays européens, notamment ceux du bassin méditerranéen, s’entendent pour interdire leurs ports aux bateaux transportant des cargaisons de migrants avec la menace d’amendes dissuasives.

La grenouille est-elle cuite ? Est-il déjà trop tard ? La gravité de la situation impose de prendre des mesures d’urgence d’une grande fermeté. Pas des demi-mesures. Mieux vaut tard que jamais, le projet de loi dit « contre le séparatisme » qui vient en discussion au parlement a le mérite de mieux encadrer l’exercice du culte musulman et de sanctionner des pratiques contraires à nos principes qu’il s’agisse des mariages forcés, de la protection des agents des services publics, et notamment du personnel hospitalier, face aux menaces, violences et intimidations des fanatiques de l’islam, ou encore de la mise en danger de la vie d’autrui par des incitations à la violence via les réseaux sociaux.

Texte de loi qui sera complété par la « charte des principes de l’islam » élaboré en liaison avec le CFCM (conseil français du culte musulman) qui reconnaît le principe de l’égalité « homme-femme », le droit à la liberté de conscience, ainsi que le droit de changer de religion. Mais trois fédérations du CFCM ne sont pas d’accord avec ce texte et refusent de le signer en l’état. Le gouvernement va-t-il accepter de modifier le document ? Parviendra-t-il à convaincre les récalcitrants ou passera-t-il outre cette opposition des islamistes ? Sa crédibilité en dépend s’il veut vraiment faire entrer l’islam dans le moule de la République !

Etat d’urgence patriotique

Il faut que la question du combat contre l’islam politique devienne une priorité nationale comme la lutte contre le Covid 19. Après l’état d’urgence sanitaire il faut décréter un état d’urgence patriotique. Car la Patrie est aujourd’hui en danger de mort. L’ennemi n’est plus seulement à l’extérieur mais à l’intérieur et il bénéficie de soutiens actifs avec des collabos comme Edwy Plenel et son site Médiapart qui, selon le Point (21 janvier 2021), a publié le nom d’une professeure de droit à la fac d’Aix-Marseille qui, le 27 octobre dernier, soit onze jours après l’assassinat de Samuel Paty, avait déclaré lors d’un cours : « L’islam ne reconnait pas la liberté de conscience. C’est quand même terrifiant ». Elle avait aussi évoqué « des religions sexuellement transmissibles », propos qui lui ont valu de recevoir des menaces de mort, suite à quoi elle a été placée sous surveillance policière.

Comment comprendre encore que l’adjointe au Défenseur des droits, George Pau-Langevin, ancienne secrétaire d’Etat socialiste, puisse justifier le port du burkini au motif que « l’interdiction du burkini au sein de la base de loisirs est susceptible de constituer une discrimination ». Et ce sur plainte du CCIF (comité contre l’islamophobie en France), association islamiste aujourd’hui dissoute. On croit rêver !