La France, tout comme l’Europe de l’Ouest est aujourd’hui au pied du mur. Ou elle accepte la subversion migratoire et sa perte d’identité ou bien elle réagit face aux envahisseurs. Dans ce cas l’alternative se trouve entre la remigration et la désislamisation.
Que faire face à l’islamisation galopante de notre pays ? En France les aveugles doivent bien être les seuls à ne pas s’apercevoir de l’envahissement de l’espace public par les tenues vestimentaires musulmanes. Désormais, même les plus petites villes de notre beau pays découvrent les bienfaits du vivre-ensemble avec ces femmes voilées et ces hommes en djellaba accompagnés d’une bruyante marmaille. Qui s’étonnera que l’immigration soit aussi massivement rejetée par les Français ?
A l’heure où l’on commémore le deuxième anniversaire des massacres parisiens des terrasses de café et du Bataclan il convient de s’interroger sur le meilleur moyen de lutter contre la colonisation de notre pays par cette immigration extra européenne qui veut nous imposer, de gré ou de force, ses coutumes, ses traditions et sa loi coranique, la charia.
Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes
Les Français, comme tous les peuples européens, ont des droits inaliénables et imprescriptibles, au premier rang desquels celui de vivre en paix sur la terre de leurs pères. Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes a été proclamé lors de la Première guerre mondiale et réaffirmé après la Seconde guerre mondiale dans la charte des Nations unies de 1945.
Or, ce principe a volé en éclat en 1973 lorsque les 9 pays dont la France qui constituaient l’Union européenne ont fait entrer le loup dans la bergerie en acceptant les conditions des pays arabes producteurs de pétrole. C’était au lendemain de la guerre du Kippour remportée par Israel sur une coalition syro-égyptienne. Les pays arabes décident alors de punir le monde occidental pour son soutien à l’Etat hébreux en multipliant par quatre le prix du baril. Surtout ils obligent la France, comme les autres pays occidentaux, à accueillir sur son sol des communautés musulmanes qui seront régies par les règles de la charia.
Des communautés « qui ont pour vocation de prendre les postes-clé au niveau politique, économique et communicationnels dans les pays hôtes » explique Alain Wagner. « La mise en œuvre de cette stratégie s’appuie sur les centres culturels, les mosquées et les écoles islamiques » précise ce spécialiste de l’islam. Une stratégie qui a été confirmée et précisée depuis, notamment par la déclaration du Caire de 1990, et à laquelle tous nos gouvernants sont depuis soumis.
Obligation est ainsi faite aux populations musulmanes d’Europe d’observer la loi coranique et de vivre selon les principes de la « déclaration des droits de l’homme en Islam » du 5 août 1990 ratifiée par les 57 pays membres de l’Organisation de coopération islamique (OCI) qui donne la primauté au divin sur les lois humaines, limite la liberté de choisir sa religion, et consacre l’inégalité des droits entre l’homme et la femme.
Des principes évidemment contraires aux nôtres qui démontrent que l’islam n’a pas sa place en France, pays de la démocratie, des libertés individuelles et des droits de l’homme. Autant de valeurs que détestent les mahométans, mais qui font partie de notre ADN et que devrait rappeler à chaque occasion et avec force le chef de l’Etat, garant des institutions de la République.
Devant l’inertie coupable, voire complice du pouvoir, il appartient au peuple de prendre en main ses destinées. C’est lui seul qui peut obliger les gouvernants à réagir, et à prendre leurs responsabilités.
La rue se soulèvera
Car contrairement aux responsables politiques du pays prisonniers des différentes lois, conventions et autres traités, nationaux ou internationaux, le peuple de France est (encore) libre d’agir, de décider, de choisir. Le moment venu-mais le temps presse – la rue se soulèvera pour crier son ras-le-bol et dicter ses volontés. Et l’Histoire nous a appris au cours des siècles passés que le courage ne manque pas aux Français dés lors qu’il s’agit de défendre la liberté ! Que se passera-t-il alors ? Nul ne le sait. Mais on peut prévoir, sans risque de se tromper, que rien n’arrêtera le soulèvement populaire qui gagnera l’ensemble du pays.
Avant d’en arriver à ces extrémités et éviter de voir couler le sang français dans des tueries d’un autre âge, deux issues sont à envisager. La remigration. On en parle comme LA solution. De quoi s’agit-il ? D’inverser les flux migratoires. Deux options sont à considérer: la remigration volontaire par l’incitation des pouvoirs publics à inviter les immigrés à retourner vivre dans leur pays d’origine afin d’y retrouver leurs valeurs, leur religion et leur culture. Ils pourront être indemnisés pour leurs biens légalement acquis en France. Les cotisations qu’ils ont versées au titre du chômage ou de la retraite seront converties en capital qui pourra être accompagné d’une prime de départ , à condition, bien entendu qu’ils s’engagent à ne pas revenir s’installer en France.
Et puis il y a la remigration forcée qui s’appliquera automatiquement aux étrangers condamnés pour des crimes et délit de droit commun ainsi qu’à tous ceux qui ne respectent pas les lois de notre pays. Le vote d’une loi en ce sens pourrait d’ailleurs inciter nombre de musulmans à choisir de quitter volontairement la France. Elle serait aussi de nature à dissuader les candidats à l’immigration.
Le djihad obligation communautaire
Autre solution : la désislamisation. Autrement dit l’incitation à renoncer à l’islam en montrant aux musulmans, notamment à ceux qui croient, peut-être en toute bonne foi, que « l’islam ce n’est pas çà » quand survient un attentat terroriste que « le système islamique justifie l’usage de la violence » comme le souligne Alain Wagner et que le djihad fait partie de l’islam. Que c’est même une obligation communautaire. Et qu’il est indéniable que le premier djihadiste au monde est Mahomet. Il leur suffira pour s’en convaincre de relire la vie du prophète peuplée de guerres, de massacres avec la mise en esclavage des infidèles. Autant d’horreur appliquées méthodiquement par Daech durant son califat syro-irakien.
Maintenant si les musulmans veulent véritablement pratiquer une religion de paix, d’amour et de tolérance, ils peuvent se tourner vers le christianisme. La découverte de la Bible, dont la lecture ou même la possession est interdite en terre d’islam sous peine de mort, constituera pour eux une révolution. Bien que les statistiques soient difficiles à obtenir il est incontestable que les conversions de musulmans-de femmes notamment- au christianisme sont de plus en plus nombreuses. Selon des estimations il y aurait entre deux et sept millions de convertis dans le monde, malgré tous les risques encourus. Combien en France ? Ils étaient environ 10 000 selon une étude réalisée en 2010. Il appartient à l’Eglise catholique d’accompagner et d’amplifier ce mouvement. Mais en est-elle capable ?