Pas d’autre solution que de prohiber l’islam en France !

La question de l’islam, n’en doutons pas, va occuper une place essentielle dans la campagne présidentielle. La lutte contre le terrorisme est devenue la première préoccupation des Français, avant le chômage, l’immigration et la santé. Pour en finir, une fois pour toute, avec ce problème, il n’y a pas trente-six solutions. Il faut prohiber l’islam en France. Et inscrire son interdiction dans la constitution.

Ceux qui seraient choqués d’une telle mesure se sont-ils indignés sur le sort réservés aux chrétiens d’Orient? Que pensent-ils des persécutions dont sont victimes au quotidien les non-musulmans dans les pays à majorité islamique? Il faut avoir la lucidité de regarder le problème en face. L’islam est un système politico-religieux totalitaire qui veut nous détruire. Ce n’est pas nouveau. L’esprit de conquête est dans son adn depuis ses origines. Son but est l’instauration d’un califat en France, comme dans l’ensemble du monde occidental.

Face à ce monstrueux défi qui nous a été lancé nous devons réagir avec la plus grande fermeté. C’est un devoir vis-à-vis des trop nombreuses victimes des attentats qui ont frappé et ensanglanté notre pays. Notre détermination à combattre ce nouveau totalitarisme barbare doit être sans faille et sans faiblesse. Rappelons-nous la formule célèbre de Clémenceau. En politique « Il faut savoir ce que l’on veut. Quand on le sait il faut avoir le courage de le dire. Quand on le dit il faut avoir le courage de le faire ». Force est de constater que l’on est bien loin du compte ! Nos politiques n’ont pris conscience que trés tardivement de la gravité de la situation. Et pourtant les signes avant-coureurs n’ont pas manqué qui auraient dû les inciter à prendre des mesures draconiennes. Ainsi, n’ont-ils pas voulu voir dans ce qu’on a appelé « la révolte des banlieues » en 2005 les prémisses d’une revendication communautariste.

16 milliards dépensés sur cinq ans

A ce soulèvement parti de Clichy-sous-Bois en Seine-Saint-Denis qui a enflammé les banlieues françaises, les pouvoirs publics ont répondu par le « plan Borloo ». Plus de 16 milliards dépensés sur cinq ans (2005-2009) pour rénover les cités et créer des emplois alors que ces zones de non-droit étaient gangrenées depuis des années par des « animateurs » qui inculquaient à ces jeunes issus de l’immigration le rejet de notre société et la haine de la France. Quel aveuglement alors qu’il aurait fallu prendre, dés cette époque, les mesures appropriées pour combattre ces idées subversives et leurs propagandistes connus depuis longtemps par les services de police !

Et que dire de l’affaire Mohamed Merah ! Un premier parachutiste assassiné, puis un deuxième et un troisième avant que cet islamiste viennent tuer des enfants et un adulte dans une école juive de Toulouse! Nous n’étions pas en état d’urgence, il est vrai, Daech n’existait pas encore, mais le fait de tuer un militaire français dans notre pays, n’est pas innocent. Cela aurait dû interpeller nos responsables politiques et, peut-être, permis d’éviter d’autres innocentes victimes ! Il n’en a malheureusement rien été.

La France est un pays démocratique. C’est le pays des droits de l’homme. On ne cesse de nous le dire et le répéter jusqu’à nous culpabiliser. Mais cela ne doit pas nous lier les mains et nous empêcher d’agir. Il faut en finir avec le politiquement correct avec les discours martiaux et les coups de menton. Nous sommes passés en quelques décennies du Dar al-Sulh où le musulman respecte les lois du pays qui l’accueille au Dar al-Harb-littéralement « Maison de la guerre » -où le musulman a l’obligation de faire triompher la loi d’Allah, c’est-à-dire la Charia. Avec tout ce que cela implique dans la vie courante comme obligations pour chacun et comme mesures discriminatoires et vexatoires vis-à-vis des femmes et des croyants des autres religions.

Il est grand temps de réagir

Si nous croyons en la France que nous aimons, si nous voulons conserver notre mode de vie et ces valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité inscrites au fronton de nos mairies, il est grand temps de réagir. Nous avons été victimes d’attaques particulièrement meurtrières. Nous sommes toujours sous la menace d’attentats terroristes. L’état d’urgence qui vient d’être à nouveau prorogé permet de mener des actions préventives pour notre sécurité. Elles ont sans doute permis d’éviter de nouveaux carnages. Pas de dissuader les djihadistes de renoncer à leurs sanglants projets.

La France – mais pas seulement elle – fait figure aujourd’hui de « ventre mou » pour nos ennemis qui savent habilement exploiter nos failles et nos faiblesses. Il ne peut pas y avoir d’accommodement avec l’islam. Non l’islam n’est pas « compatible avec la République » comme le prétend naïvement Marine Le Pen. L’islam est l’ennemi de notre civilisation, de nos valeurs, de nos traditions. Il faut combattre ce système totalitaire primitif jusqu’à l’éradiquer. L’avocat Karim Ouchikh, président du SIEL (Souveraineté, identité et liberté) un petit parti patriote, exige cette fermeté : « L’islam politique n’est en rien soluble dans la République, dit-il. Il doit être mis durablement sous tutelle de la République pour conjurer ses effets profondément déstabilisateurs ».

Dans son ouvrage « Vaincre le totalitarisme islamique », paru le mois dernier, François Fillon est sur la même longueur d’onde. « Arrêtons de faire semblant. Non il n’y a pas de problème religieux en France. Oui il y a un problème lié à l’islam. Dire les choses c’est reconnaître qu’il y a un communautarisme islamique qui n’a pas sa place sur la terre de France, qui est incompatible avec notre histoire, nos valeurs et ce que nous sommes au plus profond de nous-mêmes ». Puisse le candidat de droite à l’élection présidentielle montrer cette même fermeté dans ses actes s’il est élu l’an prochain à la présidence de la République !