Sommes-nous entrés dans l’ère des ténèbres ?

Depuis quelques temps les signes inquiétants se multiplient. Les islamo-gauchistes mènent une offensive tous azimuts pour tenter d’imposer leur vision étriquée du monde. Non sans succès !

Pauvre Université française ! Jadis temple du savoir et de l’esprit, elle est aujourd’hui devenu le repaire de minorités actives qui imposent leur volonté. Ainsi Sylviane Agacinski s’est vu interdire l’accès à l’université Montaigne de Bordeaux où elle devait expliquer aux étudiants et enseignants girondins pourquoi elle est opposée à la PMA et à la GPA. Philosophe unanimement respectée, cette femme de gauche a été jugée « réactionnaire, transphobe et homophobe » par ces émules des khmers rouges enfermés dans leur sectarisme d’un autre âge.

Autre exemple récent, l’affront fait à Mohamed Sifaoui, spécialiste de la radicalisation et de l’islam politique. Contacté en 2017 par la Sorbonne, l’auteur de Taqiyya, préparait depuis deux ans un projet sur la prévention de la radicalisation. La formation devait démarrer le 29 octobre avec des imams, une quarantaine au total, dépendant de la Grande Mosquée de Paris qui avait signé une convention avec l’Université Paris1-Sorbonne. Mais c’était compter sans le pitoyable Collectif contre l’islamophobie en France (CIF), l’indignation des syndicats d’enseignants et de l’inénarrable Unef, dénonçant « stigmatisations » et « amalgames ». Que pensez-vous qu’il arriva ? C’est malheureusement la présidence de l’Université qui céda aux pressions de cette engeance d’idiots utiles de l’islamisme, faisant fi du travail accompli depuis deux ans par Mohamed Sifaoui qui avait fait appel pour la circonstance à des historiens, des philosophes et des magistrats anti-terroristes.

On peut s’inquiéter de la soumission qui frise la complaisance des responsables d’universités qui choisissent d’annuler, en catimini le plus souvent, la venue de personnalités voire d’événements qui déplaisent à telle ou telle minorité, plutôt que d’opposer, au nom de la liberté d’expression, un refus ferme à ces minorités agissantes prisonnières de leur idéologie rétrograde.

Parti de l’intolérance

C’est ce même parti de l’intolérance qui exerce une veille féroce et de tous les instants sur tout ce qui se dit et s’écrit en France tant dans la presse que sur les plateaux de télévision. Ce sont ses adeptes qui ont tenté par tous les moyens de faire interdire d’antenne Eric Zemmour coupable à leurs yeux du pire des crimes, celui d’être islamophobe. Qu’à donc osé dire notre célèbre polémiste national pour qu’il soit ainsi pourchassé par les gardiens sourcilleux  du politiquement correct ? « Tous nos problèmes aggravés par l’immigration sont aggravés par l’islam » a-t-il notamment déclaré lors d’une réunion politique. Un discours retransmis intégralement en direct par la chaine LCI qui n’a fait qu’attiser la polémique.

Quoi qu’on pense des propos tenus par Eric Zemmour sur les « immigrés colonisateurs » et sur la « djellabah, ce nouvel uniforme d’une armée d’occupation » qui lui ont valu les qualificatifs de « xénophobe » et de « raciste » de la part de la bien-pensance, non seulement il a le droit de le penser, mais aussi celui de le dire, la liberté d’expression étant un droit défini par la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 qu’il est nécessaire de rappeler tant les entraves pour tenter d’en réduire la portée par des lois liberticides sont nombreuses. « Tout individu à droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions, et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit ».

Une déclaration forcément inacceptable pour les islamo-gauchistes parce que contraire au Coran, le livre saint des musulmans dont nombre de versets prônant la violence et la haine sont juridiquement condamnables dans nos sociétés occidentales.

Comment dés lors s’étonner des crimes commis au nom de l’islam depuis 14 siècles par les disciples d’Allah ? Pourquoi traiter de « petite bande d’imbéciles et d’irresponsables » ceux qui ont incendié le chapiteau qui accueillait le « Centre des arts de la scène et du cirque » de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines) comme l’a fait le Premier ministre Edouard Philippe ? Sa réaction de colère prouve qu’il n’a rien compris à la nature profonde de l’islam. Car cette arche n’avait rien d’anodin. Elle représentait un « symbole de la réussite » comme l’a souligné Catherine Arenou, maire de la ville. Des valeurs dans lesquelles ne se reconnaissent pas les islamistes. Pas plus qu’ils acceptent d’ailleurs l’école de la République avec l’enseignement de matières qui fâchent les élèves, ou des pans entiers du programme que les professeurs ne peuvent plus enseigner dans ces cités où la loi islamique, autrement dit la charia, l’emporte sur les lois de la République.

Les dégâts causés par le feu à une école et un collège à Béziers sont là pour nous le rappeler. « L’incendie d’un établissement scolaire est une offense à la République » a tweeté Christophe Castaner. C’est précisément l’effet recherché par les incendiaires ! Un sondage récent de l’Ifop indiquait que pour 78 % des Français la laïcité était menacée par l’islam. Bonne nouvelle le ministre de l’Intérieur en fait partie !