La victoire des nationalistes en Corse est passée presque inaperçue. Pas un mot à l’Elysée sur ce séisme politique qui est une première dans la vie politique corse. En fusionnant leurs listes entre les deux tours des Régionales, les autonomistes de Gilles Simeoni, le maire de Bastia et les indépendantistes de Jean-Guy Talamoni se sont installés aux commandes de l’Ile de Beauté. Est-ce parce qu’il était trop occupé à essayer par tous les moyens d’empêcher le Front national d’arriver au pouvoir dans les régions que l’exécutif n’a pas vu venir la victoire des nationalistes ? C’est l’hypothèse émise par certains médias. Elle ne nous parait pas convaincante. Nous allons voir pourquoi.
Corse
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